L’énergie sans la rivière  A close up of a logo

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Un océan pour la vie

 

La mer réserve d’énergie

Le solaire voltaïque

L’autoconsommation électrique

 

Le solaire thermique

 

Les éoliennes forte puissance

 

La pile à combustible

Le charbon

Le bio gaz 

Les produits fossiles et l’Europe  

La combustion du bois

 

Les routes voltaïques?

 

Les « routes » ferroviaires

 

Les voitures électriques

 

Le moteur thermique

 

Le partenariat public privé ?

 

Les rivières corses

 

Le coût de l'énergie thermique

 

L'Allemagne championne des ENR

 

Les DJU

 

Les objectifs du Grenelle.

 

Sa phase active ?

 

Le puits canadien

 

Les deux facettes de l’hydrogène

 

Le transport de l'énergie.

 

 

Quelques chapitres du livre

 

La logique de la taxe carbone

 

L'énergie solaire

 

Positif ou négatif?

 

Les formes d’énergie

 

 

 

L’eau a coulé sous les ponts depuis les années 50, lorsque la rivière assurait pratiquement à elle seule notre besoin en énergie électrique. Nos besoins en énergie ont tellement augmenté depuis cette époque que la rivière ne produit plus maintenant que 10% de nos besoins en électricité. Pourtant, la dépendance de nos rivières à l'énergie n'a guère changé.  Alors que notre constitution stipule que l’on doit vivre dans un environnement équilibré et favorable à sa santé, est-il normal qu’aujourd’hui, après les avoir tronçonnées, meurtries et polluées, elles fournissent encore à elles seules pratiquement toute l’énergie dite « propre » du pays ? Cette dépendance de la rivière à l’énergie n'est assurément pas la bonne et devrait changer. Il existe en effet d'autres techniques de production d’énergie plus « propres » où la rivière peut nous venir en aide sans que l’on nuise à son écosystème bien au contraire. Cette partie du site explique comment il est possible de générer de l'énergie électrique dite "verte" ou du moins peu émettrice de gaz à effet de serre préjudiciables à nos problèmes climatiques.

Le soleil associé au vent et à l’hydrogène peut subvenir à l’essentiel de nos besoins en énergie électrique

Il est temps de songer à réduire notre consommation de combustibles fossiles. La mer avec ses courants marins et la réserve thermique qu’elle constitue, l’énergie thermique et voltaïque solaire, le vent, sont autant de moyen d’y parvenir. Tout ceci en redonnant vie à nos rivières. Notre trop grande dépendance vis à vis du pétrole illustrée par la pétrochimie est néfaste non seulement à notre environnement, elle va aussi devenir de plus en plus lourde pour notre portefeuille et nos fins de mois. Ce qui devrait surtout guider nos pas est le prélèvement de l’énergie thermique disponible dans notre proche environnement avec la rivière en zone urbaine, la mer sur le littoral avec un usage de la combustion limité au bois en zone rurale et au recyclage des ordures dans la périphérie des grandes villes. Il serait ainsi possible de réduire le coût de l’énergie thermique rendue dans nos habitations. Ceci aussi afin de solutionner grâce au solaire et de l’enthalpie de la matière le problème de l’alimentation en énergie électrique de nos nouvelles voitures hybrides rechargeables voire électriques dans nos cités. Notre gouvernement vient de faire un pas timide dans ce sens avec la pompe à chaleur à un €.   Quant aux allemands ils se sont attaqués au fond du problème : le stockage de masse de l’énergie électrique en passant par la case thermique

 

Claude Allègre notre célèbre climatosceptique avait raison de dire dans son livre ‘’ Ma vérité sur la planète’’ ;

< La vérité scientifique met parfois beaucoup de temps à être acceptée >

.* Voir aussi le livre "Réparer la planète" de Maximilien Rouer et Anne Gouyon des éditions JC Lattès