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Pertes par ventilation
En terme de confort, la ventilation naturelle
actuelle semble insuffisante
La mise en place de ventilations mécaniques qui ont pu être ajoutées à titre
privatif n'est pas recevable.
Ces
ventilations mettent la colonne en surpression et tous les étages profitent des
odeurs venant de l'appartement de celui qui installe cette ventilation. La
solution qui consiste à ouvrir largement les fenêtres au printemps ou l'automne
est naturellement acceptable mais l'habitude est une seconde nature et si l'on
continu à le faire l'hiver cela sera au détriment de notre confort
indépendamment des pertes d'énergie importantes qui peuvent en résulter.
En continuant à procéder ainsi l'hiver les déperditions thermiques
risquent d'être non négligeables si l'on souhaite une ventilation efficace qui
améliore notre santé. En effet, un renouvellement journalier de l’air
des pièces habitables à
Le coût annuel
correspondant de 2 000 € est relativement
faible en valeur relative. Il convient de ne jamais boucher les ventilations en
place et de nettoyer les grilles. Une ventilation mécanique simple flux
contrôlée (VMC) sur les bouches d'aération en terrasse améliorerait notre
confort et serait plus économique et plus commode qu'une multitude d'actions
privatives. Une ventilation mécanique contrôlée
double flux associé à une récupération de chaleur serait un must qu'il semble
difficile d'intégrer dans un immeuble ancien.
Le
renouvellement de l'air intérieur des appartements 2 fois par jour semble
suffisant pour notre confort respiratoire
Déperdition dans les cages d'ascenseurs
Les déperditions dans les cages d'ascenseurs peuvent être importantes en raison
du ''tirage'' qui peut se produire, un peu comme dans une cheminée si la partie
haute n'est pas étanche ce qui semble être le cas.
Le calcul de cette déperdition n’est pas évident. Il semblerait que les fuites
en partie haute des cages d'ascenseurs ne soient pas importantes